15 Juin 2020
Nous avons assisté à l’arrivée de Pifou, le fils de Pif (lire notre article Pif présente… son fils !) dans le n° 685 de Vaillant, en juin 1958. Mais, c’est seulement dans le n° 692 (août de la même année) que nous découvrons enfin son nom. Étonnamment, la première fois qu’il est prononcé, c’est par Pifou lui-même. Je cite : « Minoumiaou… Clac… Pitipifou ! », que l’on pourrait traduire par : « Le chat (Hercule) a donné une claque sur les fesses du petit Pifou » - c’est encore un bébé, il parle de lui à la 3è personne.
Si Pif ne reprend pas ce nom dans les cases suivantes de la B.D. de ce numéro, on remarquera qu’il l’utilise néanmoins à la fin de la page des jeux (intitulée à cette époque « La récré »)…
Enfin, c’est dans la bande dessinée de Pif parue la semaine suivante, dans Vaillant n° 693, que le papa emploie pour de bon le nom de « Pifou » pour s’adresser à son rejeton.
Toutes ces amusantes et jolies histoires sont toujours signées Roger Mas, bien sûr !
Et si vous voulez comprendre l'allusion que fait Pif à propos de Placid et Muzo, dans la première histoire présentée ici, lisez Vu dans Placid et Muzo !